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『Donuts Killer.』 ; D A V I D

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David-P. Atkins

LOVER FROM AMERICA ♦ ÉTRANGER
David-P. Atkins
— PSEUDOs : — Mister Burglar. • Gin
— CRIMES RÉSOLUS : 31
— DISPONIBILITÉ RPs :
  • ✓ Disponible
— AVATAR : Robert Downey Jr. AKA monsieur Iron Man.
— CRÉDITS : tumblr & bazzart & moi.
— DC&TC : Moriarty le psychopathe, Andrew le toxicoman, Lloyd mr. la baston & Clive le strip-danseur. So many people, I can't.
『Donuts Killer.』 ; D A V I D 14042008491340792
— ÂGE DU PERSO : Il n'est plus tout jeune comme il l'eut été avant, maintenant. Il possède trente huit ans, trente huit belles années bien remplies et qui laissent des traces.
— NATIONALITÉ : Il est Américain, venant tout droit de San Francisco.
— ORIGINAIRE DE : Il est donc Américain, certes, mais c'est aussi intéressant de savoir d'où il proviens exactement ; de Los Angeles.
— LIEU D'HABITATION : Il occupe un petit appartement tout frais payé par Scotland Yard le temps de sa mutation, mais sinon, un possède une belle petite maison à San Francisco.
— MÉTIER : Inspecteur en chef dans la brigade des énigmes, rebaptisé actuellement Investigations Bureau.
— ARMES DU PERSO : Malgré qu'il ne supporte pas les armes à feu et que d'en tenir une lui fait trembler les mains, il possède un revolver qu'il cache dans l'arrière de son pantalon, ou autour de ses hanches avec une ceinture pour.
— AMOUREUSEMENT : Il ne veut plus s'essayer à être en relation sérieuse avec quelqu'un depuis Will, son ex, mais sinon, donc, est célibataire.
— O. SEXUELLE : David assume pleinement aimer les hommes. Mais attention, ce n'est pas une folasse cage aux folles, au contraire, il est masculin, et comme dire... Juste normal ? Oui, normal.

『Donuts Killer.』 ; D A V I D Empty
MessageSujet: 『Donuts Killer.』 ; D A V I D 『Donuts Killer.』 ; D A V I D EmptyMar 21 Jan - 2:54

David P. Atkins
« a donuts, dude ? »

Moi, je suis...

Nom&Prénom? De son nom complet, ça donne David-Peter Atkins, sinon il se fait seulement appeler David Atkins ou même David... Ou même Dave. Ou bien Pit. Ou Peter. Vous me suivez ? Ϟ Âge? Notre p'tit inspecteur possède 38 belles années derrière lui, c'est pas mal du tout comme bagage. Ϟ Métier? Inspecteur en chef dans la brigade des énigmes, rebaptisé actuellement "Investigations Bureau". Ϟ Situation Amoureuse? Célibataire même s'il a quelques ex derrière le cul. -façon de parler bien-sûr-. Ϟ Nationalité? Dave' est Américain, mais est actuellement en vacances à Londres. Ϟ Lieu&Date de Naissance? Né un 16 Novembre 1973 à Los Angeles, même si maintenant il habite à San Francisco. Ϟ Aime? Les sucreries, la nourriture en général, les chocolats chauds, se prélasser au soleil, les douches bien brûlantes, lire le journal -comme un vieux-, cuisiner, regarder des films d'action, lire des BDs, écrire quand il n'arrive pas à dormir, fumer de temps à autre, l'alcool mais modérément, aller dans des boites de nuits réservées pour les hommes comme lui et tout plein de genre d’endroits coquins, son métier, les gens de son taf, faire de l'exercice, faire du bon boulot et draguer quand il est d'humeur, faire rire et sourire car il se sent important ainsi pour les autres. Ϟ Déteste? Les armes à feu, les ordures qu'il traque durant ses enquêtes, les petits nouveaux qui se la pète plus haut que leur cul, qu'on lui pique sa nourriture/son donuts du goûté au poste de bureau, que la machine à café fasse chier, tuer, les missions échouées, qu'on lui tienne tête ou qu'on se prétende supérieur à lui, qu'on l'accuse à tort, qu'on l'énerve.  Ϟ Dominant ou Dominé? Il n'aime pas qu'on lui pose la question en général, devinez pourquoi... Ϟ Peur(s)? Y passer la prochaine fois qu'on le vise avec une arme à feu. Ϟ Groupe? Les étrangers.


Tout sur toi.


Gourmand — Courageux — Distrait — Râleur — Drôle — Malicieux — Dragueur — Mauvaise Foi — Maladroit — Droit dans le travail — Dévergondé dans sa vie privée — Souriant — A fleur de peau — Expressif — Théâtrale — Facilement addicte — Pervers

Pour David : la bouffe, c'est sacré. Il vouerait presque un culte à cette dernière s'il le pouvait. Que ce soit la bonne nourriture, les fast-food ou les sucreries... En général il n'est pas difficile et fait avec ce qu'il a. Il a un petit faible pour les donuts ; bah en même temps, en Amérique, y'en a tellement... Ϟ David adore les tatouages : il trouve que ça donne un petit coté badass classieux et s'en ai fait un sur le bras ainsi qu'un peu ailleurs, je ne vous dirais pas où ; à vous de les trouver. ♥️ Ϟ Il adore faire des siestes au soleil, couché sur son canapé dans sa maison. La sensation de la chaleur contre la peau lui donne des frissons agréables et il a l'impression que c'est encore plus efficace qu'une bonne thérapie à 150 dollars la séance. Ϟ Il adore son métier, mais il faut dire que s'il pouvait, il changerait. Depuis qu'il s'est fait blesser, il a développé une sorte de phobie de l'arme à feu, ce qui est un peu con quand on est Inspecteur de Police... Très, même, on est d'accord ! Ϟ Il déteste tuer. D'ailleurs le fait qu'il ai dû tirer sur un homme lors d'une de ses premières missions l'a profondément bouleversé et marqué. Tout comme le pistolet, il se garde ça pour lui et lève sa tête bien haut pour sa propre fierté. Ϟ Sa sœur lui a conseillé d'aller voir un Psy. Ne pouvant jamais rien refuser à cette dernière, il commença une consultation -d'où la note des 150 dollars plus haut-, mais abandonna très vite car parler de lui était très difficile. Ϟ Lui et les gosses, c'est chien et chat. Surtout vu comment les marmots de sa petite sœur le traire ! C'est toujours la guéguerre, le plus âgé qui tire les cheveux ou parfois lui manque de respect, et la plus petite adore le mordre... Il ne se plaint pas mais ça commence à devenir chiant à force ! Ϟ David est gay, et il l'assume : Mais il n'est pas gay dans le sens froufrou, mijaurée, cage au folles. Il reste un homme normal, simple, qui est galant avec les femmes mais même en les trouvant belles, n'est pas attiré par elles. Il préfère, bizarrement, la présence d'un homme. Ϟ Son père et lui, ça a toujours été la grosse... Galère. Il faut dire que le paternel de Peter était un sacré, enfin était... Est, un sacré enfoiré. Il ne s'occupait jamais de sa famille et pour cela, Dave' lui en veut énormément. Le fait qu'il soit en plus homophobe était la goûte d'eau qui fit déborder le vase. Ϟ Il a un petit rituel de matin : Se réveiller, se lever, prendre une douche et se lire le journal dans sa cuisine avec une bonne tasse de café bien fort. Vous l'aurez deviné, ce fameux rituel du matin dont je parle, en fait, c'est surtout cette tasse de café. Ϟ Il aime bien le port de la barbe ; il trouve que sa lui donne un petit côté sexy, un peu comme les Policiers de films d'action dont toutes les femmes sont folles amoureuses. Parfois il la rase ; parfois il s'amuse à la laisser pousser pour ensuite lui donner une belle forme bien soignée... Ou même parfois il n'en a rien à faire et la laisse en barbe de trois jours. Ϟ Il n'est pas si sentimental que ça, mais il a eu un grand ex on va dire : Will. D'ailleurs, même s'il l'a quitté car ce dernier était un vrai petit con, bah ce très cher Will voyez-vous continue de courir après les miches de Dave en lui implorant son pardon. A force, L'inspecteur commence à en avoir marre et un de ces jours ça finira en baston. Ϟ Le fait qu'il soit gay est quand même tragique ; il a fait tomber plus d'une femme dans ses bras, surtout avec le beau statut d'Inspecteur à San Francisco, le rang qui en jette un max avec sa belle petite bouille.


Derrière l'écran ?

Ton nom&pseudo? Giiiiin ! Ϟ Age? Baboubabhu ! Très français je sais (a) Ϟ Ce que tu aimes dans la vie? Le yaoi, le rp, les séries, les jeux vidéo, les forums, le dessin, le graphisme, les supers acteurs so british like Martin Freeman, Tom Hiddelston, Benedict, les pays comme l'Angleterre, l'Irlande, l'Ecosse, bla bla.. Ϟ Série(s) Préférée(s)? Sherlock BBC ♦️ Dr. House, toujours xD Ϟ Ta présence? 7/7 <3 Ϟ Ce que tu penses du forum? Trolololol ! Ϟ Comment as-tu connu le forum? Bonne question, HAAAA QU'EST-CE QUE JE FOU ICI ?!!  woooow ! Ϟ Un truc en +? Je vous aimes tous !  Huug .

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David-P. Atkins

LOVER FROM AMERICA ♦ ÉTRANGER
David-P. Atkins
— PSEUDOs : — Mister Burglar. • Gin
— CRIMES RÉSOLUS : 31
— DISPONIBILITÉ RPs :
  • ✓ Disponible
— AVATAR : Robert Downey Jr. AKA monsieur Iron Man.
— CRÉDITS : tumblr & bazzart & moi.
— DC&TC : Moriarty le psychopathe, Andrew le toxicoman, Lloyd mr. la baston & Clive le strip-danseur. So many people, I can't.
『Donuts Killer.』 ; D A V I D 14042008491340792
— ÂGE DU PERSO : Il n'est plus tout jeune comme il l'eut été avant, maintenant. Il possède trente huit ans, trente huit belles années bien remplies et qui laissent des traces.
— NATIONALITÉ : Il est Américain, venant tout droit de San Francisco.
— ORIGINAIRE DE : Il est donc Américain, certes, mais c'est aussi intéressant de savoir d'où il proviens exactement ; de Los Angeles.
— LIEU D'HABITATION : Il occupe un petit appartement tout frais payé par Scotland Yard le temps de sa mutation, mais sinon, un possède une belle petite maison à San Francisco.
— MÉTIER : Inspecteur en chef dans la brigade des énigmes, rebaptisé actuellement Investigations Bureau.
— ARMES DU PERSO : Malgré qu'il ne supporte pas les armes à feu et que d'en tenir une lui fait trembler les mains, il possède un revolver qu'il cache dans l'arrière de son pantalon, ou autour de ses hanches avec une ceinture pour.
— AMOUREUSEMENT : Il ne veut plus s'essayer à être en relation sérieuse avec quelqu'un depuis Will, son ex, mais sinon, donc, est célibataire.
— O. SEXUELLE : David assume pleinement aimer les hommes. Mais attention, ce n'est pas une folasse cage aux folles, au contraire, il est masculin, et comme dire... Juste normal ? Oui, normal.

『Donuts Killer.』 ; D A V I D Empty
MessageSujet: Re: 『Donuts Killer.』 ; D A V I D 『Donuts Killer.』 ; D A V I D EmptyMar 21 Jan - 2:55


This is my life
« Le vent m'emportera. »

I. Every story need a begining.



Tout commence dans une famille plutôt aisée à Los Angeles. Une petite fille âgée d’a peu-près sept ans courait dans les couloirs d’une belle maison, dévalant les escaliers pour descendre jusqu’à aller chercher sa tante. La petite était à la fois affolée et apeurée, mais souriait de toute ses dents tellement elle avait hâte que tout ça se finisse et qu’il arrive. « Tata !! Tata !! Il arrive !! Il faut appeler, vite !! » Avait déclaré la gamine, alors que sa dite tante fut sous émoi tout à coup, se levant en se précipitant pour composer un numéro d’urgence. Un fois cela fait, elle alla en courant monter les escaliers descendus plus tôt par l’enfant, déclarant au passage à celui-ci « Va vite chercher le sac Katelyn ! Vite, vite !! » C’était des rires qui s’élevaient, des rires de joies, bien qu’une tension palpable car bientôt quelques gémissements de douleurs se faisaient entendre depuis une des chambres à l’étage. Je pense qu’à présent, vous vous doutez bien de ce qu’il se passait dans cette belle et élégante demeure. L’arrivée d’un enfant ! C’est ici que tout commença pour David. Il naquit à l’hôpital, quelques rues plus loin, et l’on annonça à la mère que l’enfant était en bonne santé et pesait un poids tout à fait honorable. Ce fut de la joie pour tous, tous sauf celui qui « dirigeait » la famille… Sans la diriger : le père de David et Katelyn et donc le mari de Vanessa –mère des enfants– ; Sean, père de famille qui ne s’occupait jamais de cette dernière, trop occupé à jouer aux jeux d’argents dans des casinos de la ville de Los Angeles. Malgré sa non-présence pour l’accouchement du petit bambin, cela n’empêcha pas ce dernier d’être aimé comme il se devait pas sa très chère mère, sa sœur et sa tantine.

Malgré les absences plus que fréquentes de la part de Sean Atkins, David poussa sereinement, enveloppé d’un doux cocon protecteur. Il avait de bonnes, très bonnes notes à l’école et semblait vraiment droit d’esprit. Il souhaitait aller loin, très loin, et cette ambition fit plaisir à tout le monde sauf à la personne à laquelle l’enfant voulait que ça plaise le plus : encore une fois, le père de famille. Peter –comme l’était son second prénom, à David– avait toujours eu un manque, un truc qui clochait dans cette vie de conte de fée n’ayant aucune discorde ou dispute familiales. Un père, un modèle, une personne sur laquelle reposer ses yeux et à qui dire fièrement qu’il était le meilleur de la classe. Lorsqu’il rentrait, il n’y avait pas cette présence. Lorsqu’ils mangeaient tous à table, il n’était pratiquement jamais là. Il rentrait seulement tard, très tard le soir, bourré, et allait se coucher sur le canapé, et de temps à autre une dispute éclatait entre Sean et Vanessa. Comment ne pas avoir une rage sourde en soit lorsqu’on contemple un tel déchet de la vie humaine ne pas prendre soin de sa famille ? Il avait soif de reconnaissance, il voulait qu’on le félicite, enfin même pas qu’ « on », mais qu’il le félicite, comme un père le ferait envers son fils, ébouriffant doucement ses cheveux dans un sourire doux et encourageant. Cherchant tout les moyens possibles pour se faire remarquer, il décida de poursuivre ses études pour pouvoir devenir Inspecteur de police au saint de la brigade de San Fransisco : le rêve de son paternel lorsque celui-ci était jeune. Il allait lui prouver à quel point il était son fils, digne de sa reconnaissance, digne d’être sur cette terre même si Sean n’avait pas voulu de lui.

Le temps passa à nouveau, et du haut de ses 21 ans, David réussit à décrocher un poste dans la Police de San Fransisco. Il avait passé les tests d’aptitude, les concours écrit et concours physique et ce fut avec brillôt qu’il fut accepté. La petite famille fut fière d’avoir un jeune policier chez eux,  surtout un policier avec une telle personnalité. Il n’allait pas être comme tous ces ploucs partout ailleurs qui ne faisait que glander dans leur bureau, car il fallait dire que notre petit Dave aimait le travail bien fait. Enfin bref, tout le monde fut fier de lui et pour l’occasion d’ailleurs, ils avaient organisé une fête. Une personne manquait encore et toujours à l’appelle : Sean. Ne désespérant pas, David se dit qu’il allait au moins le féliciter, un tant soit peu… « Tu sais où est papa ? » questionnait alors le jeune diplômé, un verre d’alcool à la main alors que la musique résonnait dans la maison et que des amis et personnes de la famille dansaient, riaient, et tout le reste. « Il ne sera pas là ce soir chéri, désolée… Il est en ville pour trouver un nouveau travail. » Avait déclarée la mère de l’homme, dans un petit sourire désolé. Rendant le même sourire à sa mère, David baissa les yeux et bu un peu du ponch dans son verre, alors que sa mère lui déposa une petite caresse du bout du doigt contre la joue. « Profite de la soirée, on est fier de toi David. » Un sourire un peu plus étendu apparu sur les lèvres du récemment nommé policier. « Merci ma p'tite maman. » déclara ce dernier dans un murmure tout en déposant un baiser sur la joue de Vanessa avant de repartir vers les autres pour faire la fête –et avec plaisir car il adorait ça–. Ce que David ne savait pas, c’était qu’en fait, le père de celui-ci avait refusé participer à la petite fête… Il n’était ni à un rendez-vous pour du travail ou autre truc du genre, non, il avait déclaré à sa femme que jamais il ne viendrait « faire la fête » avec eux et encore moins « pour la réussite d’un enfant qu’il n’avait jamais voulu tout comme sa sœur ». C’était ainsi que le sourire de Vanessa s’effaça et qu’elle tapota alors ses beaux ongles vernis contre son propre verre, l’air abattue.

II. You're in the world of adults now.

Les débuts dans la police furent plutôt durs. C’était très strict, et il avait passé un an de préparation, à se lever aux aurores et faire les tours du terrain, le sport, la nourriture pas tip top, enfin bref : ce fut une année très dure pour David même si tout cet encadrement lui plaisait énormément. C’est d’ailleurs là bas que notre policier en herbe découvrit son orientation sexuelle, et qu’il eu bien entendu sa première fois… Dans les douches communes alors que personne n’y était. Il eu de la chance, il ne se fit pas chopper. Enfin bref : Dans l’entourage qu’il avait là bas, il se lia d’amitié avec pas mal de personnes. Des femmes comme des hommes, et en sortant de l’établissement, ils restèrent tous en contact, en tant que grand groupe de potes. En sortant donc du centre de formation, David fut assigné à la police de San Francisco. Enfin, un rêve qui lui était cher prenait de la véracité !  Il commença donc à travailler et au fur et à mesure, il prit un bon rythme de vie, et brillait parmi ce milieu. Un an plus tard, alors âgé de 23 ans, il emménagea dans sa propre maison à l’aide de sa mère et sa grande sœur. Il fut enfin chez lui : il ne voyait plus les décors vidés de son père qui ne venait que pour dormir le soir car trop bourré. Cela lui fit un énorme bien. Il put s’épanouir d’autant plus dans sa vie professionnelle ainsi, que dans sa vie privée.

Montant d’un grade, David se fit assigné à des missions un peu plus dangereuses et pénibles. L’une d’elle d’ailleurs dérapa de manière très négative… Lors d’un cambriolage de banque, un homme masqué avant pris une femme en otage et était prêt à abattre l’innocente : Le réflexe de David fut de sortir son revolver, de viser l’homme en question et de lui tirer dessus. Un geste qui avait été plus vite que dans sa conscience : il n’avait pas eu le temps de réfléchir à cet acte car il se devait de le faire, surtout que ses collègues étaient tous occupés avec les autres voyons, tous sauf un : un d’ailleurs de ses bons amis et collègue. Rabaissant l’arme tout en haletant, il se rendit compte de ce qu’il venait de faire mais n’eu pas le choix de se précipiter avec son autre ami policier jusqu’à la femme, terrorisée. David s’occupa d’elle alors que le service d’aide psychologique était là ; il l’y emmena et on s’occupa d’elle. Pendant ce temps, le jeune policier ne vit pas que les pompiers avaient alors emporté le corps du cambrioleur… Plus tard, ils apprirent au bureau que l’homme sur lequel David avait tiré avait succombé à la balle d’une hémorragie même s’il n’avait pas tiré dans un endroit propice pour mourir d’emblée. Ce fut un choque pour lui. Alors que la réunion se leva, le dit-ami et collège de Dave’ alla vers ce dernier qui fixait le sol de manière vide. Il posa sa main sur son épaule et pressa celle-ci avec force pour lui transmettre tout ce qu’il pu de compassion. « Tu as fait ce qu’il fallait mon vieux… T’en fais pas, le chef en est conscient, il connait la situation. » Relevant la tête vers son collègue tout en inspirant par la bouche, il hocha sèchement mais avec hésitation la tête. Un sourire de la part de son ami, et ce dernier s’en alla dans une tape dans le dos à l’attention de David.

Une fois chez lui, le soir, David n’avait pu avaler un seul morceau. Il était resté avachi contre sa chaise, devant sa table du salon. Il regardait le vide, et ses mains tremblaient : Il avait en tête les images de l’homme se recevant la balle et tombant au sol, ne bougeant plus. Secouant la tête, il saisit son téléphone et fixa celui-ci, ne sachant plus vraiment comment extérioriser ce qu’il ressentait : ce choc, cette douleur, tout ça… c’était une épreuve psychologique très difficile. Il fini par composer le numéro d’une personne très chère à lui : Perry, sa «meilleure amie» ou même sa «confidente». Il la connaissait depuis l’école primaire et étaient très proche tout les deux. « Salut, Perry. J’ai tiré sur un gars aujourd’hui. » La jeune femme était au courant du fait que David était policier étant donné qu’ils se parlaient très régulièrement et se voyaient quand ils le pouvaient, et donc savait dans quel cadre cela avait pu arriver. « David ?! Tout va bien ?! » Reprenant sa respiration, le jeune flic tourna légèrement les yeux sur le coté, ces derniers légèrement rouges. « Je n’avais jamais fait ça avant. » Sentant comme quelque chose se débloquer en lui en ayant prononcé ces dernières paroles, David fondit alors en larme au téléphone. « David, tu m’entends ?! Bon, c-calme toi surtout ! J’arrive tout de suite d’accord ? Ne bouge pas ! » et la jeune Perry raccrocha rapidement, se dépêchant de dire à son mari qu’elle sortait. Elle alla rejoindre son ami chez lui, sonnant à sa porte : lorsque David lui ouvrit, les yeux un peu plus rougit et les joues humides, l’air totalement anéantis, Perry se jeta sur lui pour l’enlacer fortement, elle aussi les larmes aux yeux. Il faut dire qu’ils étaient très fusionnels, tout les deux. Quand l’un allait mal, l’autre aussi. Ils passèrent la soirée blottis l'un contre l'autre, sur le canapé, chacun une tasse de chocolat dans les mains à parler, parler, parler... Si David n'avait pas eu Perry dans sa vie, il aurait eu un gros vide. Il était heureux de la connaitre.




III. Time passes, people move.

Pas loin de dix années plus tard, David avait très bien évolué, et c’est pour dire ! Il avait été muté aux Investigations Bureau, alias la brigade des énigmes à San Francisco en tant qu’Inspecteur en chef. Il avait donc déménagé là bas, dans une maison un peu plus spacieuse que celle qu’il avait avant. Sur ce genre de choses, il n’avait pas à se plaindre : l’argent, il en avait comme il fallait, assez pour mener une vie qui coule de source et heureuse. Malheureusement, l’argent ne faisait pas tout le bonheur, surtout quand on était plongé dedans depuis petit car on n’avait pas l’habitude de devoir se restreindre –et fort heureusement pour David, il n’avait pas un comportement de pourris gâté–… Car il y avait encore le fameux Daddy’s problem. Avec tout ce qu’il avait accomplit durant ces années, son père ne lui parlait toujours pas et même pas de petit « bravo, mon fils », rien. Il était toujours alcoolique et accro aux jeux, mais en ce moment Vanessa n’en pouvait plus. Elle força donc un an plus tard son mari à faire une cure de désintox. David continua tranquillement sa vie, malgré tout préoccupé par l'état de santé de son père, ainsi que peiné pour sa pauvre mère qui souffrait beaucoup de tout ça. Elle était surement fatiguée, épuisée même, mais c'était une femme avec un tel caractère qu'elle ne se laissait jamais abattre. David l'admirait énormément. Il avait toujours pris modèle sur elle, et c'est surement ce qui participa au fait qu'il soit devenu un homme bien.



IV. The heart of the family is broken.

Deux ans plus tard, le père de famille avait fini sa cure de désintoxication. Il n’était plus alcoolique et avait arrêté les jeux d’argents, restant maintenant de repos à la maison. Les échanges avec lui étaient très difficiles, car il avait un caractère plutôt… Expéditif et très sauvage. Il s’en fichait de blesser les autres ou non, et parfois, des disputes éclataient. Néanmoins, ces derniers temps, cela s’était calmé. David n’avait pas encore eu le temps de venir le voir, trop occupé par son travail durant les semaines suivant le retour de Sean à la maison familiale. Ils étaient en Décembre, et vint alors noël… C'est-à-dire : toute la famille, regroupée autour d’une table pour pouvoir manger ensembles dans la joie et la bonne humeur. Et cela allait être l’un des premiers Noël où Sean serait au bout de la table avec tous les autres… Un des premiers noëls qu’il passera avec son papounet pour David. D’ailleurs, ce dernier eu la bonne idée d’utiliser le fait qu’il y a tout le monde cette fois ci pour faire ce qu’on appelle «son coming out». Un coming out, c’est quand on décide d’annoncer officiellement à la famille son orientation sexuelle, en général. Personne ne le savait, sauf sa sœur et sa mère qui bien entendu, n’avait aucune objection à cela tant qu’il était heureux dans sa vie sentimentale et qu’il faisait son boulot dans la vie professionnelle comme il se devait. Néanmoins, sa mère et sa sœur n’étaient pas au courant qu’il comptait l’avouer, et sa mère l’en aurait dissuadé car elle savait quelque chose, encore, que David ne savait pas. Enfin bref, c’était donc un 24 décembre qu’il retourna le soir dans la maison familiale. « Je suis pas trop en retard j’espère ? » Katelyn poussa un cri de peur et d’exclamation en sentant son petit frère apparaître d’un coup derrière elle tout en posant ses mains sur ses épaules. La jeune femme se retourna tout en riant aux éclats et enlaça fortement son frère, l’air heureuse. « David !! » Le dit-petit frère se mit à rire tandis que les membres de la famille en firent autant, quelques uns poussant des « Aaaah ! » sous la scène attendrissante, heureux de revoir le fils de Vanessa depuis le temps. Il y eu du bavardage, des « Comme tu as grandit mon petit David ! » et des embrassades, surtout venant de la tante du jeune homme, particulièrement attachée à son adorable neveux qu’elle qualifiait de tombeur, comme quoi aucun autre homme ne lui arrivait à la cheville –une tante gâteau, en effet, David lui-même lu disait souvent qu’elle ferait mieux d’arrêter de lui vouer un culte insensé, sur le ton de la rigolade bien-entendu–. « Papa est là ? » Bizarrement, cette scène lui rappela celle d’il y a douze ans, lors de la fête qu’il avait fait pour son admission dans la police. « Oui, il est dans le salon. » Sauf que cette réponse eu le don de faire sourire comme jamais l’inspecteur en chef. Un rêve devenu réalité. Son père, sa famille enfin réunie… Mais comment tout cela allait-il se passer ? C’était une bonne question. Il préféra ne pas aller tout de suite voir Sean, préférant attendre d’être à table pour éventuellement lui parler, surtout après le dîner, quand la pression serait retombée.

Le repas se fit dans les rires et la joie même si Sean, au bout de la fameuse table, tirait parfois la tronche. Il réussissait néanmoins à communiquer avec les autres, sourire rarement mais bon, il y arrivait, c’était déjà ça. David se sentit affreusement bien. Voir son paternel dans cet état le rendait affreusement heureux, c’en était indécent. Finalement, après avoir bien mangés, vint le dessert et c’est là que David prit son courage à deux mains. Il se leva doucement de sa chaise, saisissant son verre pour taper dessus. « Ouais, bon je sais pas si c’était nécessaire le verre, mais comme ils font ça dans les films, je me suis dit que ça ferait le type cool et tout ça… » La petite assemblée rigola légèrement, et regarda alors avec attention le jeune homme. Sa sœur et sa mère semblaient légèrement préoccupées, bien que Katelyn fût fière au fond de son frère : elle se doutait bien de ce qu’il allait dire car David lui avait déjà parlé plusieurs fois de se mettre à découvert car il en avait marre des reproches gentillets des membres de la famille sur son pseudo célibat. « J’ai quelque chose à vous dire, de très important. » Tout le monde écoutait, l’air intéressé. David essaya de ne pas perdre la face, et je ne vous cacherais pas d’ailleurs qu’il était quand même bien mort de trouille au fond de lui, surtout vu que tout le monde semblait très sérieux. Ça lui foutait la pression, mais il décida d’aller jusqu’au bout de ce qu’il voulait dire. « Alors voilà. Je suis homosexuel. » Le silence était toujours présent, et Vanessa regarda immédiatement Sean, alors que ce dernier fixait sans aucune expression apparente son fils. « Maintenant je crois que je vais aller m’enterrer dans le jardin… Heu, salut ! » Finalement, cette phrase détendit l’atmosphère et ils rirent, se mettant à dire que cela n’importait rien, qu’il restait lui-même et même qu’il devait à tout pris leur présenter son petit ami –ce qui n’était pas le cas, il était célibataire en ce moment–. Mais malheureusement, seul le père de David n’avait pas rit. Il se leva soudainement et s’en alla dans sa chambre, sous les regards surpris ou même choqués des gens. Ce fut une grande douleur qui saisit le cœur de notre policier à cet instant. Il s’était rassit plus tôt, et eu du mal à sourire jusqu’à la fin du repas.

Quand tous les invités furent partis, tout redevint calme. Vanessa qui vit que son fils regardait en direction de l’étage, posa doucement sa main sur son bras, tout en le regardant, peinée. David tourna son visage vers sa précieuse mère et lui lança un regard sur de lui, venant serrer doucement sa main avant de monter les étages jusqu’à la chambre de son père, sous le regard de sa génitrice et de sa grande-sœur, toutes deux inquiètes. Arrivant dans la pièce, David ferma rapidement la porte et se plaça face à son père qui était avachit dans un canapé contre un mur de la chambre. Le jeune homme était presque hors de lui, car il devait avouer qu’après tant d’années, tout ce qu’il avait fait pour être reconnu par son père, rien ne marchait, et que là, il avait osé se lever et partir après sa déclaration, comme s’il avait carrément honte de son fils alors que ce dernier cherchait à être tout sauf honteux aux yeux de son paternel. « Papa. M’as-tu aimé ? Jamais ? » Sean leva ses yeux vers son fils et le fixa d’une manière froide et sans aucune affection. David lui, continua à parler, sentant la pression venir lui écraser le cœur sous la douleur. « Papa, m’as-tu aimé oui ou non ? Papa, je dois savoir. » S’il répétait plusieurs fois «Papa», c’était pour reprendre le dit-père qui commençait à gueuler des «fiche moi la paix» ou autre. Sentant la colère envahir son corps, David haussa légèrement le ton, mais pas trop encore. « Vas y, ment-moi et dit moi que c’est le cas. Fait moi sentir à quel point je suis une merde. » Son père se tût, ne disant plus rien. Comme une bombe à retardement, tout explosa en David. « Est-ce que tu m’aimes ou pas ?! RÉPOND-MOI !!! » Aucune réponse. Son père se contentait de le fixer, sans aucune émotion, rien. Bien vite, le jeune homme sentit ses yeux picoter et il se recula légèrement tout en faisant dos à Sean, venant se masser les tempes tout en laissant ses larmes couler le long de ses joues, silencieusement, seul ses reniflements voulant tout dire. Bien vite, Vanessa monta les escaliers, ayant entendu son fils crier, et en voyant ce dernier pleurer, compris que tout c’était mal passé. Elle alla vite le chercher, posant une main réconfortante dans son dos tout en le tirant vers la sortit de la pièce, tournant en même temps son visage de manière à lancer un regard haineux envers son mari. Ce fut dur à encaisser pour le brun, très très dur. Il s’en alla finalement une heure plus tard, après avoir un peu parlé avec sa sœur et sa mère, retournant chez lui, abattu.




V. Can't you let me alone ?!

De nouveau, le temps s’écoula paisiblement, deux ans pour être précis. David vaquait à ses occupations, essayant de ne plus repenser à son père désormais étant donné que le sujet pour lui était absolument clos. Durant ces deux années, il rencontra un homme avec qui il se mit en couple et avec qui ça dura plus que les autres. Il en était tombé amoureux et l’aimait, mais ce dernier, légèrement trop frivole, le trompa à plusieurs reprises. La première fois, David eu du mal à laisser couler mais le fit, par contre, la deuxième fois… Il rompit, car il n’y avait pas d’intérêt à sortir avec quelqu’un si ce quelqu’un ne respectait pas la personne qu’il était censé aimer. Ce que David ne savait pas, c’était que son ex à présent, ce Will, était du genre… Chewing-gum quand il « aimait ». Donc il venait souvent harceler le policier, venant à la fin de son bureau avec des fleurs ou ben lui envoyant des texto, ou en l’appelant quasiment tout le temps… En ayant ras le pompon, il lui fit comprendre très clairement qu’il ne voulait plus jamais le voir. Quelques mois passèrent après cette fameuse mise en garde, et David avait l’impression qu’il allait enfin être peinard. Néanmoins, ce ne fut qu’une impression, malheureusement pour lui d’ailleurs… Ce genre de choses avait don de lui foutre les nerfs à vif.

Alors qu’il était en pleine affaire, aux cotés de ses collègues, le phénomène Will fit son apparition… Mais bien-sûr, ce dernier attendit que les potos policiers de David retournent en voiture pour retourner à la brigade, laissant notre brun enquêter sur le reste de l’affaire. Il écrivait sur un dossier avant de le poser sur le capot de la deuxième voiture de flique, et c’est à cet instant que Will déboula d’un coup. « Pitié David écoute moi !! » dit-il alors que l’homme interpellé se retourna d’un coup, les yeux ronds comme des billes de le voir dans un tel endroit. « Bordel Will, qu'est-ce que tu glandes ici ?! Comment tu sais que j'étais l- » A peine avait-il fini que Will accourut vers lui et lui saisit les mains, ce que David s’empressa de faire cesser immédiatement dans un geste sec. « S’il te plait, j’ai changé, je t’en supplie, je suis désolé ! » Will reprit les mains de David, et cette fois ci, le policier tenta de les repousser un peu plus sèchement : il n’eu finalement pas besoin de faire cela, étant donné que son ex lui lâcha les mains et passa son bras autour de la nuque de son vis à vis pour le coller à lui, l'empêchant de bouger. « W-w-w-woooh- tu fais quoi là, oh, hé tu- ?!! » Il l’embrassa alors, lui «roulant la pelle du siècle» alors que pile à ce moment, les collègues de David passèrent en voiture non loin, ayant un bug en voyant ce qu’il se passait, avant de repartir. Le policier tenta tant bien que mal de le repousser, mais ce fut après une bonne minute qu’il réussit, le tapant ensuite avec le dossier le plein de papiers. « MAIS-TU-VAS-TE-BARRER, OUI ?! » Ce n’était pas méchant, on ne faisait pas vraiment mal avec un dossier en papier carton… Will se protégea avec ses mains et chouinait des désolé, mais étant donné que notre brun n’en pouvait plus, il balança ses papiers dans sa bagnole de flic et monta ensuite dedans, se tirant d’emblée.

Et c’est alors que depuis ce jour, il recommença encore et encore à venir harceler le pauvre Dave qui à chaque fois se demandait comment ne pas l’assommer et le jeter dans un caniveau pour être tranquille… Dommage que cela aurait été un crime, il serait tellement tenté !



VI. Occupational hazard.

Un an plus tard, David dut faire face à une nouvelle cata. En effet : Alors qu’il était impliqué dans une affaire plutôt mouvementée, on lui tira dessus. Il fut évacué rapidement, ayant perdu conscience à cause du sang de perdu sur le moment. Touché au niveau des côtes, il eu de la chance que ce ne soit pas le poumon. Il resta plusieurs semaines à l’hôpital, et sa sœur et sa mère vinrent à sa rencontre une fois qu’il fut réveillé et à peut-près en état de pouvoir parler tranquillement. Il faut dire que ce fut une épreuve de plus à supporter. Se faire tirer dessus lui développa ainsi une sorte de phobie de l’arme à feu. En tenir une dans sa main lui faisait trembler ces dernières, et parfois il bloquait lorsqu’il fallait tirer, incapable de presser la gâchette de son réflexe. Enfin bref : Il s’en sortit plutôt bien, veinard qu’il était pour le coup. Un mois plus tard, il retournait bosser, pépèrdos tranquilos. Rien ne l’arrêterait on aurait dit, il était motivé quand cela concernait son taf. C’est précieux ! Il ne parla d’ailleurs à personne de sa phobie des armes, car un agent de police ne pouvant pas tirer, ça ne l’aurait pas vraiment fait… Il fit donc mine de rien, prétendant que tout allait pour le mieux.



VII. Let's go to London.

Après l’incident de la blessure par balle, tout le monde commença à s’inquiéter à propos de David au bureau. Les collègues parlaient de ça à la machine à café, et dès que l’inspecteur arrivait, c’était le blanc, le froid polaire, le vent d’hiver, bref le silence de la mort qui tue quoi. Du coup, il se contentait de plisser les yeux de manière surprise, et prenait son café des quatre heures avant de retourner dans son bureau pour bosser. C’est plus tard que son chef vint le voir, s’entretenant ainsi avec lui. « Vous êtes plutôt fatigué en ce moment, Atkins… » David avait relevé la tête de ses fiches, l’air surpris et ferma un des dossiers, regardant avec attention son patron. « C’est vrai. » Son patron s’adossa à la porte du bureau aux vitres translucides.  « Vous avez mérité des vacances. » Cela fit sursauter David qui écarquilla les yeux, avant d’essayer de calmer l’élan de joie qui le conquit. « Vraiment ? » Son patron fit tourner le café dans son gobelet puis regarda à nouveau son employé. « A Londres. » Ce fut un blanc qui gagna la pièce. David voyait le coup venir. Oh oui, il le voyait très bien même. « Vous êtes muté pendant six mois à Londres, ça vous fera du bien, tout le monde est d’accord pour ça. » David cru qu’il allait faire un arrêt cardiaque. Londres, carrément, c’était en Europe ça ! En plus, il paressait qu’on mangeait super mal en Angleterre car les Anglais étaient affreusement nul question cuisine : donc adieu donuts, starbucks et tout le reste ! « Mais patron… »

« Hé merde ! » Il essaya de remettre correctement sa carte, cherchant a trouver son chemin. Il était à Londres, youpi ! Ce qu’on pouvait dire de tout ça, c’était que David n’allait pas passer ces mois à se reposer, bien au contraire, car en plus du taff, il allait avoir à faire face à beaucoup de soucis… A venir.


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James Moriarty

THE SINNER MAN ♦ CRIMINEL
James Moriarty
— PSEUDOs : — Mister Burglar. • Gin
— CRIMES RÉSOLUS : 112
— DISPONIBILITÉ RPs :
  • ✓ Disponible
— AVATAR : Le beau et talentueux Andrew Scott.
— CRÉDITS : tumblr & bazzart & moi.
— DC&TC : David-P. Atkins l'avaleur de donuts, Andrew Jahensey le drogué & Clive le strip-danseur.
『Donuts Killer.』 ; D A V I D Jl6xM
— ÂGE DU PERSO : Moriarty possède ni plus, ni moins que trente et un ans. Il le vit plutôt bien, enfin, il n'en a rien à faire à vrai dire.
— NATIONALITÉ : L'on pense qu'il est Londonien, mais pourtant, ce n'est pas du tout le cas. Oui, il a les passeports, mais non il n'est pas Anglais ; mais Irlandais.
— ORIGINAIRE DE : James est originaire de Dublin, la capitale de l'Irlande. Ca s'entend à son accent irish.
— LIEU D'HABITATION : Seul ses plus proches bras droits le savent, et encore... Donc je ne pense pas pouvoir vous le communiquer.
— MÉTIER : Criminel Consultant. Terme qu'il s'est bien-sûr inventé, tout comme Sherlock Holmes se fait appeller Détective Consultant. En gros, on le paye pour commetre des crimes.
— ARMES DU PERSO : Sebastian est son arme la plus sûre et la plus fidèle, qui en général ne rate jamais son coup comme il est tireur d'élite. Sinon, il garde toujours un revolver sur lui.
— AMOUREUSEMENT : Moriarty, aimer ? La bonne blague... Il n'a d'yeux que pour Sherlock, certes. Mais du point de vue connaissance personelle, je pourrais dire que Sebastian Moran est la personne qui lui est la plus... chère ?
— O. SEXUELLE : Il n'a que faire de ça. Tant que les gens lui servent, homme, ou femme, de là même à devoir aller jusqu'au lit... Ca n'a pas d'importance.

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MessageSujet: Re: 『Donuts Killer.』 ; D A V I D 『Donuts Killer.』 ; D A V I D EmptyMar 21 Jan - 12:00

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 Héhé... <3 
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