Contexte

« the game is on »

→ Années 2011.
Entre Le chien de Baskerville & Reichenbach fall.

Sherlock Holmes est un jeune homme grand, élancé et élégant aux cheveux noirs et bouclés, capable de tenir des raisonnements et d'aboutir à des conclusions à partir d'une incroyable quantité d'informations et d'observations de détails qui semblent insignifiants aux yeux de beaucoup, se considérant lui-même comme un « sociopathe de haut niveau ». John Watson est un ancien militaire, qui a participé à la guerre d’Afghanistan, de taille moyenne voir petite et au visage marqué par les années. Ayant été de front, il s'est vu blessé et est rentré à Londres. Il eu fait des études de médecine plus jeune, dans une faculté renommée.

« Mais qui, qui êtes-vous ?! » La surprise et même le choc imprégnait son esprit. Il ne comprenait pas d'où cet homme sortait, d'où il tenait toutes ces informations sur lui. Ce dernier ouvrit la porte, et déclara à l'ancien médecin qui était stupéfait sous les yeux de son vieil ami ; « Mon nom est Sherlock Holmes, et l'adresse est au 221 B. Baker Street. » Un clin d'oeil, et le voilà qui partait...


Par le billet d’un de ses ancien camarades de fac, John va retrouver sa vie chamboulée du tout au tout en faisant la rencontre de ce mystérieux Sherlock Holmes. Mêlé à une affaire de Scotland Yard, John va se rendre compte que l’adrénaline lui manque et que les jours tranquilles le pourrisse plus qu’il ne le pensait ; il se rendra même compte que sa claudication n’est en fait qu’un syndrome de stress post-traumatique… Sentant comme un lien se former entre lui et le sociopathe, il prit une décision. Et c’est ainsi que le duo se forma : Sherlock Holmes et John Watson, le détective consultant et son associé médecin ainsi que meilleur ami. Résolvant des énigmes, enquêtes et autre sur la demande de personnes civiles, ils sont aussi intégrés à des enquêtes bien plus importantes et dangereuses par Greg Lestrade, Inspecteur de Scotland Yard…

Mais un beau jour, une enquête fut bien plus profonde qu’il n’y paraissait. Violente, sanglante, beaucoup trop sanglante même…  Jim Moriarty, voilà comment s’appelait ce criminel consultant qui menaça la vie de John puis de Sherlock, avant de s’en aller en promettant que tout cela ne faisait que commencer. Même Scotland Yard ne put comprendre l’ampleur de la chose et la dangerosité du criminel… Et pourtant, le voilà qui prépare à nouveau un coup alors qu’il eu fini de manipuler Irène Addler, la dominatrice, la femme ; le premier amour de Sherlock Holmes. Après une escapade au Dartmoor, Sherlock et John rentrent à Londres et reprennent leur train-train de vie quotidien malgré le fait que le détective «s’ennuie» étant donné qu’il n’a pas d’affaire vraiment intéressante sous la main.

« Et si je faisais ça ? » Il pointa l’arme chargée sur les bombes camouflées qui étaient au sol. Les yeux de leur ennemi ne quittèrent pas ceux du détective consultant, ses lèvres marquées d’un sourire. Pas un mot. Pas un bruit. Rien. « Sherlock… » La stresse montait. La tension était palpable. D’une seconde à l’autre, il allait tirer. D’une seconde à l’autre, il allait mettre fin à tous ces meurtres. D’une seconde à l’autre, tout serait fini.

Mais dans le noir, les fils s’agitent, les mécanismes s’enclenchent, doucement, lentement et surement… Bientôt, tout sera chamboulé. Les écouteurs aux oreilles et le MP3 en main, il mâche son chewing-gum tout en observant la foule autour de la tour de Londres…


The Game Is On.